Merveilleux ! Je me suis lancée corps et âme dans le livre. C'est une autobiographie d'une maman américaine qui nous raconte un passage difficile de sa vie lors de son "voyage" en Iran. Cultivant et bouleversant. Nous apprenons la réalité des choses dans ce pays du Moyen-Orient. Fort heureusement, cette femme courageuse s'en est sortie. Un témoignage incroyable et effrayant à la fois. Le cri de cette femme passe admirablement bien à travers ce récit.

Pour être honnête, l'histoire ne m'a guère saisie.

Tout le monde connaît ce conte philosophique de Saint-Exupéry. Pour le moins ordinaire, j'avoue l'avoir lu deux fois pour comprendre la subtilité de l'histoire et sa facette cachée. Nous comprenons à travers ces pages certains détails de la vie qui nous semble banals, mais pourtant, pas tant que cela...

Sartre est vraiment doué pour l’écriture. Beaucoup de belles phrases ont été écrites dans son autobiographie. Même si cela peut paraître ennuyeux, c'est à lire seulement pour apprécier la richesse stylistique.

L'autobiographie de Sartre s'impose comme un remarquable témoignage de ce qu'est une connaissance du monde à travers une conscience et une expérience.
Il s'agit de montrer par quels pièges ou torsions un être a dû passer pour devenir l'auteur d'une œuvre, de rendre compte du mouvement par lequel un conflit vital trouve issus dans les mots. Le petit Sartre (enfant solitaire élevé au milieu d'adultes, enchaîné entre les mensonges de la séduction et de la fuite) évolue sous nos yeux pour finalement trouver sa vérité dans l'imposture de l'imagination, et devenir un des plus grands personnages du 20ème siècle.

C'est en attendant le retour du travail de mon amoureux le matin que j'ai parcouru ces pages avec délice. C'est un roman original. Le protagoniste : un seul homme. Ce sont de petites histoires contées par différentes filles qui ont rencontré cet homme, et c'est super ! J'avais voulu le rencontrer moi celui-là ! Il m'a l'air charmant, beau, séducteur, mais secret. Toutes les femmes en sont tombées amoureuses ! Et si j'étais l'une des filles qui raconte son aventure avec lui ? Serais-je tombée sous son charme ! En tout cas, ces plus de 400 pages m'ont laissé sous le charme. Le temps d'un roman, j'ai aimé un homme ! Malgré mes 20 ans, on réussi toujours à aimer un personnage de fiction.

Tout de même, beaucoup me disent de ce dernier tome qu'il est le meilleur. Ce n'est pas mon cas. Je me suis plus laissée emporter par la magie du monde de Tolkien sur le premier. En effet, on vivait plus dans le monde féerique. 

La magie de ce roman ! Je suis dans son monde !

Une époque où je cherchais des fées, des elfes et de la magie. Alors, je me suis lancée dans ce roman. Magnifiquement bien écrit, tout un monde inventé par une seule main. Que du bonheur ! On se croirait plongé dans ce monde fantastique aux mille créatures angéliques et féeriques !

PS : étonnants les films ! Peter Jackson a admirablement réussi les trois films qui résument parfaitement bien les trois tomes de la saga de Tolkien.

Très belle histoire d'amour, mais au bout de 1 000 pages !!!!! Ca commençait à me lasser un peu. Il n'y a pas beaucoup d'actions et encore moins des scènes lubriques... Euh... Ludiques.

A lire pour les personnes qui aiment le romantisme et les belles lettres.

Voilà un roman original. Disons que c'est un chat qui a écrit le roman. Ou peut-être l'âme d'un chat mort. Je trouve que l'histoire est émouvante à travers ces moments de tendresse et d'humour. Pauvre petit, après une vie de chat rustique, voilà qu'il passe les derniers jours de sa vie pleins de violences et de tristesses. Magnifiquement bien écrit. Bravo à l'auteur qui s'est glissé dans la peau d'un chat.

« Je m'appelle Tiffauges. Je suis un chat. J'écris. Comme si quelqu'un pouvait écrire à ma place. C'est moi. Je suis je. Un chat. C'est à prendre ou à prendre, pas d'alternative. Vous avez encore le choix et abandonner ce livre. Vous êtes libre. Voici ma vie. Et ma mort. Je m'appelle Tiffauges. J'écris. »

Yves Navarre vient d'écrire son meilleur, son plus tendre et plus cruel récit. Il a réussi une superbe réincarnation littéraire : il a sorti ses griffes. Il ne fait patte de velours que côté cœur. Il est devenu un chat, le temps d'un récit.