Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Mon journal presque intime

Mon journal presque intime
Publicité
Newsletter
5 mai 2008

Belle Du Seigneur (Albert Cohen)

BDSACTrès belle histoire d'amour, mais au bout de 1 000 pages !!!!! Ca commençait à me lasser un peu. Il n'y a pas beaucoup d'actions et encore moins des scènes lubriques... Euh... Ludiques.

A lire pour les personnes qui aiment le romantisme et les belles lettres.

Publicité
Publicité
28 avril 2008

Rue Des Bons Enfants (Patrick Cauvin)

RDBEPCUne histoire merveilleusement bien écrite de deux enfants qui vont grandir avec un point commun : leur amour réciproque.

« En cet été 1922, le soleil ruisselle sur Marseille. La ville, prospère et joyeuse, se précipite vers les palais hindous de l'Exposition coloniale. C'est là que se rencontrent pour la première fois Pascal, dit Frise-Poulet, qui vit entre sa grand-mère et son souteneur de père, et Séraphine, la fille d'un industriel. Ils ont huit ans. Les deux gosses grandissent, s'aiment, se détestent, se quittent, se retrouvent... La guerre surgit, brisant l'âge d'or. Collaboration, trafics, résistance, bombardements... Leurs choix opposés, leurs modes de vie pourraient faire de Pascal et Séraphine des ennemis. Un monde s'achève, un autre commence. à la fin du conflit, il reste au couple le refuge de toujours, la vieille rue des Bons-Enfants. L'histoire d'une ville légendaire et d'un amour exceptionnel contée avec une verve éblouissante, drôle et chaleureuse, par un enfant de Marseille. »

Merveilleux ! à lire absolument !

9 avril 2008

Une Vie De Chat (Yves Navarre)

UVDCYNVoilà un roman original. Disons que c'est un chat qui a écrit le roman. Ou peut-être l'âme d'un chat mort. Je trouve que l'histoire est émouvante à travers ces moments de tendresse et d'humour. Pauvre petit, après une vie de chat rustique, voilà qu'il passe les derniers jours de sa vie pleins de violences et de tristesses. Magnifiquement bien écrit. Bravo à l'auteur qui s'est glissé dans la peau d'un chat.

« Je m'appelle Tiffauges. Je suis un chat. J'écris. Comme si quelqu'un pouvait écrire à ma place. C'est moi. Je suis je. Un chat. C'est à prendre ou à prendre, pas d'alternative. Vous avez encore le choix et abandonner ce livre. Vous êtes libre. Voici ma vie. Et ma mort. Je m'appelle Tiffauges. J'écris. »

Yves Navarre vient d'écrire son meilleur, son plus tendre et plus cruel récit. Il a réussi une superbe réincarnation littéraire : il a sorti ses griffes. Il ne fait patte de velours que côté cœur. Il est devenu un chat, le temps d'un récit.

27 mars 2008

Le Pari (Blaise Pascal)

Parlons maintenant selon les lumières. S'il y a un Dieu, il est infiniment incompréhensible, puisque, n'ayant ni parties ni bornes, il n'a nul rapport à nous. Nous sommes donc incapables de connaître ni ce qu'il est, ni s'il est. Cela, étant, qui osera entreprendre de résoudre cette question ? Ce n'est pas nous, qui n'avons aucun rapport à lui.
Qui blâmera donc les chrétiens de ne pouvoir rendre raison de leur créance, eux qui professent une religion dont ils ne peuvent rendre raison ? Ils déclarent, l'exposant au monde, que c'est une sottise, stultitiam ; et puis, vous vous plaignez de ce qu'ils ne la prouvent pas ! S'ils la prouvaient, ils ne tiendraient pas parole : c'est en manquant de preuve qu'ils ne manquent pas de sens.
- Oui ; mais encore cela excuse ceux qui l'offrent telle, et que cela les ôte de blâme de la produire sans raison, cela n'excuse pas ceux qui la reçoivent. - Examinons donc ce point, et disons : "Dieu est, ou il n'est pas". Mais de quel côté pencherons-nous ? La raison n'y peut rien déterminer : il y a un chaos infini qui nous sépare. Il se joue un jeu. Que gagneriez-vous ? Par raison, vous ne pouvez faire ni l'un ni l'autre ; par raison, vous ne pouvez défendre nul des deux. Ne blâmez donc pas de fausseté ceux qui ont pris un choix ; car vous n'en savez rien.
- Non : mais je les blâmerai d'avoir fait, non ce choix, mais un choix ; car, encore que celui qui prend croix et l'autre soient en pareille faute, ils sont tous deux en faute : le juste est de ne point parier.
Oui ; mais il faut parier. Cela n'est pas volontaire, vous êtes embarqué. Lequel prendrez-vous donc ? Voyons. Puisqu'il faut choisir, voyons ce qui vous intéresse le moins. Vous avez deux choses à perdre : le vrai et le bien, et deux choses à engager : votre raison et votre volonté, votre connaissance et votre béatitude ; et votre nature a deux choses à fuir : l'erreur et la misère. Votre raison n'est pas plus blessée en choisissant l'un que l'autre, puisqu'il faut nécessairement choisir. Voilà un point vidé. Mais votre béatitude ? Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas : si vous gagnez, vous gagnez tout ; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu'il est, sans hésiter.
- Cela est admirable. Oui, il faut gager ; mais je gage peut-être trop.
- Voyons. Puisqu'il y a pareil hasard de gain et de pertes, si vous n'aviez qu'à gagner deux vies pour une vous pourriez encore gagner ; mais s'il y en avait trois à gagner, il faudrait jouer (puisque vous êtes dans la nécessité de jouer), et vous seriez imprudent lorsque vous êtes forcé à jouer, de ne pas hasarder votre vie pour en gagner trois, à un jeu où il y a pareil hasard de perte de gain. Mais il y a une éternité de vie et de bonheur. Et cela, étant, quand il y aurait une infinité de hasards, dont un seul serait pour vous, vous auriez encore raison de gager un pour avoir deux ; et vous agirez de mauvais sens, en étant obligé à jouer, de refuser de jouer une contre trois à un jeu où d'une infinité de hasards il y en a un pour vous, s'il y avait une infinité de vie infiniment heureuse à gagner. mais il y a ici une infinité de vie infiniment heureuse à gagner, un hasard de gain contre un nombre fini de hasard de perte, et ce que vous jouez est fini. Cela ôte tout parti : partout où est l'infini, et où il n'y a point à balancer, il faut renoncer à la raison pour garder la vie, plutôt que de la hasarder pour le gain infini aussi prêt à arriver que la perte du néant.
Car il ne sert de rien de dire, qu'il est incertain si on gagnera, et qu'il est certain qu'on hasarde, et que l'infinie distance qui est entre la certitude de ce qu'on s'expose, et l'incertitude de ce qu'on gagnera, égale le bien fini, qu'on expose certainement, à l'infini, qui est incertain. Cela n'est pas ; aussi tout joueur hasarde avec certitude pour gagner avec incertitude ; et néanmoins il hasarde certainement le fini pour gagner incertainement le fini sans pêcher contre la raison. Il n'y a pas infinité de distance entre cette certitude de ce qu'on s'expose et l'incertitude du gain ; cela est faux. Il y a à la vérité, infinité entre la certitude de gagner et la certitude de perdre. Mais l'incertitude de gagner est proportionnée à la certitude de ce qu'on hasarde, selon la proportion des hasards de gain et de perte. Et de là vient que, s'il y a autant d'hasard d'un côté que de l'autre, le parti est à jouer égal contre égal ; et alors la certitude de ce qu'on s'expose est égale à l'incertitude du gain : tant s'en faut qu'elle en soit infiniment distante. Et ainsi, notre proportion est dans une force infinie, quand il y a le fini à hasarder à un jeu où il y a pareils hasards de gain que de perte, et l'infini à gagner. Cela est démonstratif ; et si les hommes sont capables de quelque vérité, celle-là l'est...
- Oui : mais j'ai les mains liées et la bouche fermée ; on me force à parler, et je ne suis pas en liberté ; on ne me relâche pas. Et je suis fait d'une telle sorte que je ne puis croire. Que voulez-vous donc que je fasse ?
- Il est vrai. Mais apprenez au moins que votre impuissance à croire, puisque la raison vous y porte, et que néanmoins vous ne le pouvez, vient de vos passions. Travaillez donc, non pas à vous convaincre par l'argumentation des preuves de Dieu, mais par la diminution de vos passions. Vous voulez aller à la foi, et vous n'en savez pas le chemin ; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et vous en demandez les remèdes : apprenez de ceux qui ont été liés comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien ; ce sont des gens qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal dont vous voulez guérir. Suivez la manière par où ils ont commencé : c'est en faisant tout comme s'ils croyaient, en prenant de l'eau bénite, en faisant dire des messes, etc. Naturellement même cela vous fera croire et vous abêtira.

27 mars 2008

Le Pari, Blaise Pascal

Parlons maintenant selon les lumières. S'il y a un Dieu, il est infiniment incompréhensible, puisque, n'ayant ni parties ni bornes, il n'a nul rapport à nous. Nous sommes donc incapables de connaître ni ce qu'il est, ni s'il est. Cela, étant, qui osera entreprendre de résoudre cette question ? Ce n'est pas nous, qui n'avons aucun rapport à lui.
Qui blâmera donc les chrétiens de ne pouvoir rendre raison de leur créance, eux qui professent une religion dont ils ne peuvent rendre raison ? Ils déclarent, l'exposant au monde, que c'est une sottise, stultitiam ; et puis, vous vous plaignez de ce qu'ils ne la prouvent pas ! S'ils la prouvaient, ils ne tiendraient pas parole : c'est en manquant de preuve qu'ils ne manquent pas de sens.
- Oui ; mais encore cela excuse ceux qui l'offrent telle, et que cela les ôte de blâme de la produire sans raison, cela n'excuse pas ceux qui la reçoivent. - Examinons donc ce point, et disons : "Dieu est, ou il n'est pas". Mais de quel côté pencherons-nous ? La raison n'y peut rien déterminer : il y a un chaos infini qui nous sépare. Il se joue un jeu. Que gagneriez-vous ? Par raison, vous ne pouvez faire ni l'un ni l'autre ; par raison, vous ne pouvez défendre nul des deux. Ne blâmez donc pas de fausseté ceux qui ont pris un choix ; car vous n'en savez rien.
- Non : mais je les blâmerai d'avoir fait, non ce choix, mais un choix ; car, encore que celui qui prend croix et l'autre soient en pareille faute, ils sont tous deux en faute : le juste est de ne point parier.
Oui ; mais il faut parier. Cela n'est pas volontaire, vous êtes embarqué. Lequel prendrez-vous donc ? Voyons. Puisqu'il faut choisir, voyons ce qui vous intéresse le moins. Vous avez deux choses à perdre : le vrai et le bien, et deux choses à engager : votre raison et votre volonté, votre connaissance et votre béatitude ; et votre nature a deux choses à fuir : l'erreur et la misère. Votre raison n'est pas plus blessée en choisissant l'un que l'autre, puisqu'il faut nécessairement choisir. Voilà un point vidé. Mais votre béatitude ? Pesons le gain et la perte, en prenant croix que Dieu est. Estimons ces deux cas : si vous gagnez, vous gagnez tout ; si vous perdez, vous ne perdez rien. Gagez donc qu'il est, sans hésiter.
- Cela est admirable. Oui, il faut gager ; mais je gage peut-être trop.
- Voyons. Puisqu'il y a pareil hasard de gain et de pertes, si vous n'aviez qu'à gagner deux vies pour une vous pourriez encore gagner ; mais s'il y en avait trois à gagner, il faudrait jouer (puisque vous êtes dans la nécessité de jouer), et vous seriez imprudent lorsque vous êtes forcé à jouer, de ne pas hasarder votre vie pour en gagner trois, à un jeu où il y a pareil hasard de perte de gain. Mais il y a une éternité de vie et de bonheur. Et cela, étant, quand il y aurait une infinité de hasards, dont un seul serait pour vous, vous auriez encore raison de gager un pour avoir deux ; et vous agirez de mauvais sens, en étant obligé à jouer, de refuser de jouer une contre trois à un jeu où d'une infinité de hasards il y en a un pour vous, s'il y avait une infinité de vie infiniment heureuse à gagner. mais il y a ici une infinité de vie infiniment heureuse à gagner, un hasard de gain contre un nombre fini de hasard de perte, et ce que vous jouez est fini. Cela ôte tout parti : partout où est l'infini, et où il n'y a point à balancer, il faut renoncer à la raison pour garder la vie, plutôt que de la hasarder pour le gain infini aussi prêt à arriver que la perte du néant.
Car il ne sert de rien de dire, qu'il est incertain si on gagnera, et qu'il est certain qu'on hasarde, et que l'infinie distance qui est entre la certitude de ce qu'on s'expose, et l'incertitude de ce qu'on gagnera, égale le bien fini, qu'on expose certainement, à l'infini, qui est incertain. Cela n'est pas ; aussi tout joueur hasarde avec certitude pour gagner avec incertitude ; et néanmoins il hasarde certainement le fini pour gagner incertainement le fini sans pêcher contre la raison. Il n'y a pas infinité de distance entre cette certitude de ce qu'on s'expose et l'incertitude du gain ; cela est faux. Il y a à la vérité, infinité entre la certitude de gagner et la certitude de perdre. Mais l'incertitude de gagner est proportionnée à la certitude de ce qu'on hasarde, selon la proportion des hasards de gain et de perte. Et de là vient que, s'il y a autant d'hasard d'un côté que de l'autre, le parti est à jouer égal contre égal ; et alors la certitude de ce qu'on s'expose est égale à l'incertitude du gain : tant s'en faut qu'elle en soit infiniment distante. Et ainsi, notre proportion est dans une force infinie, quand il y a le fini à hasarder à un jeu où il y a pareils hasards de gain que de perte, et l'infini à gagner. Cela est démonstratif ; et si les hommes sont capables de quelque vérité, celle-là l'est...
- Oui : mais j'ai les mains liées et la bouche fermée ; on me force à parler, et je ne suis pas en liberté ; on ne me relâche pas. Et je suis fait d'une telle sorte que je ne puis croire. Que voulez-vous donc que je fasse ?
- Il est vrai. Mais apprenez au moins que votre impuissance à croire, puisque la raison vous y porte, et que néanmoins vous ne le pouvez, vient de vos passions. Travaillez donc, non pas à vous convaincre par l'argumentation des preuves de Dieu, mais par la diminution de vos passions. Vous voulez aller à la foi, et vous n'en savez pas le chemin ; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et vous en demandez les remèdes : apprenez de ceux qui ont été liés comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien ; ce sont des gens qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal dont vous voulez guérir. Suivez la manière par où ils ont commencé : c'est en faisant tout comme s'ils croyaient, en prenant de l'eau bénite, en faisant dire des messes, etc. Naturellement même cela vous fera croire et vous abêtira.

Publicité
Publicité
19 mars 2008

Marie La Louve (Claude Seignolle)

MLLCSJe n'ai pas aimé la façon d'écrire l'histoire. Il m'a semblé trop paysan (même si c'est volontaire). Je n'ai pas accroché.

8 mars 2008

Rédaction anglaise à l'école en 2003

- Hello it's Charlotte, what's up ?
- I'm good
- Do you remember, I think my mother gone crazy !
- So did I !?
- And my father isn't at home, so he can't speak with my mum.
- So did I.
- My English teacher does me a 0/20
- So did I
- Oh ! talk just a little ! Stop with your "So did I" !
- So did I
- I'm going to leave you. Bye !
- So did I... No, it's a joke, it's my computer whitch is speaking. So did I... So did I... So did I... So...
- Bye, maybe we can see tomorrow. We going to speak together if you want.
- So did I...

What a strange story ?...
! A la construction des phrases
! A la lisibilité : le sens de ce que tu écris n'est pas toujours évident.
Sois plus clair :
10/15.
14/20 sur le contrôle en tout.

7 mars 2008

écrit en 2003 en classe de 3ème

Je naquis dans une famille pauvre et rebelle
Du grand monde humain.
Je vis sombre comme dans une vraie poubelle
Et je ne vois rien.
Je vois des morts, des sangliers, le feu et le sang
Liés, je pris Saint Henri
Car dans un univers sinistre, je sens
Que d'un fil tient ma vie.
En fermant mes yeux, derrière mes paupières mi-closes,
Je vois mon avenir,
Un avenir plus dans le gris que dans le rose.
La mort est à venir.
De toute façon, personne ne m'aide.
Je 'vais pas à l'école
Je deviens rude, violente et laide.
Ma vie noire me colle.
Que ma vie sera dans les profonds des ténèbres
C'ést écrit mot à mot
Comme un dessein sur la fourrure d'un zèbre
Enfermé dans un pot

18/20 Excellent poème satirique ! Très bien compris. Continuez vos efforts ! Langue correcte + images poétiques.

3 mars 2008

La Sphère d'Or (Erle Cox)

LSOECMe voilà qui me lance pour toute une liste de livres que je mettrais dans cette petite bibliothèque virtuelle ! Ce fut le tout premier que j'ai lu dans son intégralité avec plaisir. Je me suis dite, si tous les livres étaient aussi prenants que celui-là, je me lance dans la lecture. Mais bon, il y a l'école à côté et le bac à passer. Belle histoire fantastique et d'amour.

L'histoire voulez-vous ? C'est un homme qui trouve, dans son jardin en Australie, une mystérieuse sphère d'or de plusieurs mètres de haut. à l'intérieur se trouvent des trésors, des bijoux et... une jeune femme endormie depuis plusieurs millénaires... Mais qui est donc cette fille ?

2 mars 2008

Présentation du blog

Conception, réalisation graphique, texte et développement technique : Charlotte Berthet
Je prends également en charge la communication de ce site Internet.
Pourquoi ce site a d'abord été rédigé en anglais ? Parce que je voudrais, avant tout aller à l'étranger et que les personnes du monde entier puisse me lire en un tourne main.

Pourquoi ce site ?

Ce site est un site personnel où j'expose mes photos, mes vidéos, mes passions. Mon site a été aussi conçu pour vous communiquer mon CV de réceptionniste, webmaster et d'assistante.

Les images

Les photos et les images proviennent toutes de moi. La plupart d'entre elles sont hébergées sur www.archive-host.com car beaucoup d'internautes utilisent le hotlink. Je ne voudrais pas être obligée de fermer mon site, ou simplement qu'il devienne inaccessible.

Utilisation des flux RSS

Mon flux. Il permet de connaître en direct toutes les nouveautés de mon sites web. Pour s'en servir, utilisez un lecteur (ou un agrégateur) comme
  yahoo msn netvibes newsgator myaol et bien d'autres...

Données personnelles

Le site peut être amené à vous demander de laisser vos coordonnées (e-mail). En aucun cas celles-ci ne seront transmises à d'autres partenaires ou à d'autres personnes.

Copyright

Tous les droits de reproduction des contenus (photos, images, créations, textes, documents) de charlotteberthet.com sont exclusivement réservés.
Les design ont été conçus seulement pour ce site, donc, toutes reproductions sont interdites, notamment le logo CB.

Publicité
Publicité
<< < 10 11 12 13 14 15
Publicité