Première étape : Echec, ça fait mal, mais ça rend plus fort
Avez-vous déjà eu des échecs dans votre vie ?
Vous êtes en train de vivre un échec ?
Alors que vous aviez eu de grands projets, vous le voyez tomber à l’eau et ça vous chagrine beaucoup. Ce n’est pas parce que vous avez fixé des objectifs qu’il faut impérativement le réaliser dans des délais limités. Si vous constatez que votre projet ne se réalise pas forcément comme vous l’avez souhaité, il faut se dire qu’il y a toujours un moyen pour réussir. Prenez par exemple un plan B pour aboutir à vos fins. Ne perdez surtout pas espoir, c’est en perdant espoir que votre échec restera un échec.
Vous vivez un échec, comment le vivre ? Il faut se dire que lorsqu’on échoue quelque part, vous n’avez pas perdu la guerre. On aura envie sur le coup de tout lâcher et d’abandonner. Après avoir bien pleuré, relevez-vous !
Pour remonter la pente, voici les étapes à suivre :
- Pleurez un bon coup si c’est nécessaire, videz votre sac. Ecrivez sur un papier vos sentiments, mais évitez de trop en parler à votre entourage. Ce ne sont pas eux qui vont vous relever à votre place.
- Dites-vous que tout le monde, avant de réussir dans la vie, tous ont eu un moment ou un autre un échec. Mais pourquoi ont-ils quand même réussi dans la vie ? C’est uniquement parce qu’ils ont su se relever et devenir plus fort pour atteindre leur objectif. Il y a forcément quelqu’un que vous admirez. Et bien, cette personne, a-t-elle eu des échecs avant d’arriver à son apothéose ?
- Puis, prenez plusieurs heures de repos, une bonne nuit de sommeil par exemple, la nuit porte conseil. Ou alors, offrez-vous un bon bain, chouchoutez-vous et profitez pour réfléchir à votre échec. Si vous prenez le temps de réfléchir, vous verrez toujours l’origine de l’échec : Pourquoi votre blog n’a pas assez de visites, de commentaires ? Parce que peut-être il faut enrichir vos articles, le rendre plus intéressant. Pourquoi vous avez échoué sur un entretien d’embauche alors que vous aviez vraiment voulu ce job ? Tirez une conclusion sur le refus du poste, et si vous réfléchissez super bien, vous allez faire mieux pour les prochains
- Documentez-vous pour réussir dans la vie. Votre ami Google sera toujours votre allié. Allez à la Mission Locale ou à Pôle Emploi pour voir une conseillère. Documentez-vous, prenez même des notes s’il le faut. Posez-vous des questions pertinentes pour avoir des réponses précises qui vous aideront à avancer dans la vie.
- Etablissez un plan B ou améliorez votre plan A suite aux réponses et aux conseils que vous aurez assemblés.
- Et même si vous n’arrivez pas forcément à votre objectif sur le coup, il faut persévérer et ne rien lâcher.
Quelques exemples de personnalités qui ont eu des échecs, mais en insistant et en visant toujours plus haut, ont réussi !
- Steve Jobs : Patron de la marque Apple. Alors qu’il a créé son entreprise, il a été viré de son propre entreprise. Il y a de quoi déprimer là, non ? Et bien non ! Il s’est relevé. Il a créé une autre entreprise Next Computer, une entreprise qu’Apple a rachetée. En conséquence, Steve s’est relevé encore plus fort.
- Norman fait des vidéos : Sa première vidéo fut un échec : le ping pong. C’est en faisant d’autres vidéos comme « Les Bilingues » et « le Code de la Route » qu’il a commencé à faire des millions de visites sur sa chaîne Youtube.
- Etc.
Quelques exemples d'échecs auxquels vous pouvez surmonter
- Vous êtes en études et vous ratez un semestre, ce n'est pas grave, le semestre suivant sera meilleur. Malgré tout, le semestre suivant, vous le ratez aussi. Révisez à fond pour réussir votre examen. Malheureux ! Vous ratez votre examen ! Relevez-vous et re essayez de le repasser. Je donne un exemple, mon exemple. J'ai raté les quatre semestres. Et pour finir, j'ai aussi raté mon examen à 0.5 près. Au lieu d'avoir 10/20 à mon examen, j'ai eu 9.5/20. Merde ! De plus, j'avais voulu faire une troisième année de licence un peu spéciale. Et bien tous les DUT et toutes les universités de France m'avaient refusée. Et encore pas de chance ! Le gouvernement a changé totalement le diplome que je venais de rater. Même si il a le même nom, le programme a tout été changé. Pas de chance pour moi, je n'ai pas pu repasser l'examen. Alors que faire ? Je me suis inscrite à la Mission Locale qui m'ont proposé de faire des formations rémunérées. Après, selon moi, les études ne font pas tout, après tout.
- Ca fait des mois et des mois que vous êtes au chomage et c'est pas de bol. Avec la crise actuelle, ce n'est pas forcément évident. Je vais quand même me réserver le droit de dire que la plupart des gens qui ne trouvent pas de boulot, ils sont maitre de leur échec, car au bout de quelques semaines de chômage, ils lâchent l'affaire et abandonnent et après, ils se plaignent. Non ! Persévérez ! Vous devez au moins multiplier vos rendez-vous ! Même si ça ne marche pas, vous verrez qu'un jour, plusieurs entreprises vont vous accepter et là, c'est la catastrophe, vous ne saurez même pas quel poste prendre ! A vous le choix. Plus bas aura l'article sur comment trouver un job.
Deuxième étape : Les critiques
Une chose est sure : Vous êtes le protagoniste de votre vie
Si vous avez un rêve, vous pouvez le partager à votre entourage. Les autres seront au courant de vos rêves, mais ce ne sont pas eux qui vont avancer à votre place. C’est vous qui devez avoir du courage pour y aller, voir toujours plus grand, voire au-delà de vos objectifs. Même si ce rêve est fou… Qui ne tente rien n’a rien ? Et vous serez même surpris de vous voir réussir, alors qu’il y a quelques temps, vous vous êtes dit que c’était impossible. Suite aux échecs et aux critiques qui blessent, il n’y a que vous qui puissiez avancer et traverser les barrières. Ne surtout pas prendre vos échecs comme excuses pour arrêter d’agir.
Oui forcément, on vous critique et vous vous sentez nul, c’est comme une forme d’échec. Mais, il faut se mettre dans la tête, qu’il y a deux sortes de critiques :
- Les critiques constructives
- Les critiques gratuites
Prenons le deuxième type de critique d’abord, celui de la critique gratuite, genre : « T’es nul, tu ne sers à rien », « tu es un looser », « arrête tout ce que tu es en train de faire, tu ne vois pas que ça sert à rien ? », « Ne va surtout pas travailler là bas, c’est de la merde ! », etc. Non, non et non ! La plupart des gens qui font ce genre de critique sont jaloux, parce que vous avez réussi, ou alors vous êtes en train de réussir, et oui ! C’est seulement pour vous blesser et ainsi vous freiner qu’ils font ce genre de remarques.
Les critiques constructives : tant qu’elles sont pertinentes avec des arguments, vous avez 90 % de chance que ces critiques soient bien pour vous. Même si, sur le coup, ça peut être vexant, parce que vous avez cru que vous avez fait les choses tout bien, tout comme il faut, mettez cette critique de côté, et repensez-la un peu plus tard quand vous serez calme. Peut-être que la personne qui vous a fait cette remarque n’avait pas tout à fait tord… Si vous savez bien faire la différence entre les critiques constructives et les critiques méchantes et gratuites, vous saurez vous appuyer sur les constructives pour vous remettre en question. Quant aux gratuites, laissez-tomber. A la limite, soyez plutôt fier que des gens soient jaloux de vous. Ca prouve que vous êtes en train de réussir. Mais en général, il faut bien se dire ceci : Arrêtez de croire que ce sont les autres qui vont vous aider à vous relever. Il faut que vous trouviez par vous-même la force de se relever.
Troisième étape : Avoir une bonne estime de soi, en conséquence, avoir confiance en soi
Déjà, si vous avez bien compris les deux premières étapes, vous êtes sur le bon chemin. Les échecs et les critiques cités ci-dessus peuvent créer en vous le pessimisme.
Quelle est la différence entre :
- l’Estime de soi et
- la Confiance en soi ?
Et bien c’est simple.
- L’estime de soi est comme votre miroir intérieur. Vous vous regardez dans une glace et vous vous trouvez bien physiquement. Ca, c’est déjà une bonne estime de soi. Mais si en plus, vous réussissez à vous trouver bien de l’intérieur, vous pouvez gagner votre Confiance en soi.
- La confiance en soi est la conséquence de votre bonne estime de soi. Si vous avez foi en vous, vous vous ferez confiance, et vous avez besoin de confiance sur vous-même pour avancer dans la vie et ainsi réussir sur ce que vous entretenez.
Voici quelques facteurs qui peuvent enclencher un manque d’estime de soi.
- Votre physique peut jouer un tour dans votre estime de soi. Si vous vous trouvez moche ou gros, faites en sorte au moins que vous vous sentiez bien dans votre peau. Par exemple, faites un peu de sport, une ou deux fois par semaine. Facile à dire ça, alors que moi-même je ne fais pas de sport régulièrement. Mais ça peut vraiment aider à se sentir bien. Chouchouttez-vous, un bon bain, une bonne séance au spa, maquillez-vous, habillez-vous bien, vous pouvez vous sentir tout de suite mieux.
- Ce besoin d’avoir de l’argent, voire, avoir beaucoup d’argent peut aussi jouer sur votre estime. Pour cela, il faut être seulement être patient.
Connaissez-vous la pyramide de Malow ?
- Besoin 1 : La survie (besoin de manger, de boire et de dormir)
- Besoin 2 : La sécurité (besoin d’avoir un chez soi, un toit et une porte qui se ferme à clez)
- Besoin 3 : Le social (besoin de parler, d’avoir des amis, de s’exprimer et de s’amuser)
- Besoin 4 : l’Estime de soi (c’est ce que je suis en train de vous parler)
- Besoin 5 : l’Accomplissement (ça, c’est notre apothéose)
Ne brûlons pas les étapes. Si vous voulez avoir de l’estime en soi, ayez d’abord un bon social. Le fait de se sentir entouré ne peut être que bénéfique pour avoir un bon estime de soi.
Si en revanche, vous voulez l’accomplissement tout de suite, là maintenant, sans avoir une bonne estime en soi, ça ne marchera pas. La réussite ne tombera pas du ciel. Il faut avoir confiance en soi, avoir une bonne estime en soi pour que vous puissiez aller jusqu’à l’accomplissement. Maintenant que vous savez ce qu’est d’avoir une bon estime de soi, et parallèlement, une confiance en soi, je vous laisse lire la suite de mon article pour vous aider à avoir une meilleure image de vous-même : le social.
Quatrième étape : Apprendre à se connaître et à se maitriser
Tout d’abord, les critiques constructives sur vous-même vous donneront la conscience de ce que vous êtes vraiment, et ainsi d’améliorer vos relations. Tout d’abord, si on vous fait cette remarque : « Eh t’en fait une tête, qu’est ce qui ne va pas ? » Si vous êtes surpris de cette remarque et pis, que vous vous mettez à agresser la personne qui vient de vous dire ça en lui répondant : « Non ce n’est pas vrai, c’est n’importe quoi », là, il va falloir qu’on prenne tout à zéro.
Etre curieux sur soi : tout d’abord, si la personne vous fait cette remarque, c’est qu’il y a forcément une raison. Elle ne va pas s’amuser à inventer votre mauvaise humeur, vu que votre visage reflète votre mal être. Au lieu d’avoir mauvaise foi, demandez pourquoi elle vous fait cette remarque, elle vous dira comment vous vous comportez, et cela créera déjà en vous, la conscience de comment vous êtes : « Tu ne parles plus, tu as les poings serrés et tu as les sourcils qui froncent. »
Découvrez qui vous-êtes : si vous n’arrivez toujours pas à comprendre ce que je vous dis, je vous laisse faire ces deux méthodes.
- N’hésitez surtout pas à poser des questions aux autres sur comment vous êtes, comment les autres pensent de vous. Si vous avez bonne foi, vous aurez déjà bien avancé dans votre vie.
- Filmez-vous ! Déjà, rien que le fait de changer de comportement devant la caméra, ça veut dire que vous êtes conscient de votre image et que vous devez un peu changer pour avoir un meilleur soi, et ainsi avoir une bonne estime de soi. Mais si ce n’est toujours pas évident pour vous, visionnez-vous ! Vous aurez peut-être honte sur vous-même, vous allez automatiquement vous dire que tel comportement ne va pas, et ainsi, ça vous aidera beaucoup à prendre conscience sur vous-même, sur ce que vous êtes vraiment.
Une fois cette prise de conscience acquise, vous pouvez passer à l’étape suivante : la maitrise de soi et de ses émotions.
Vous êtes énervé ou triste, il y a bien des moyens pour contrôler ses émotions :
- Votre ordinateur bug ? Vous avez tendance à taper sur le PC.
- La porte de l’ascenseur met 10 secondes pour se fermer au lieu de 2 secondes ? Vous avez tendance à appuyer plusieurs fois sur le bouton pour que la porte ne se ferme.
Est-ce que, le fait de taper sur son ordinateur, ça va l’aider à le faire marcher plus vite ? Est-ce que le fait d’appuyer dix fois sur le même bouton va faire que la porte de l’ascenseur va fermer plus vite ? La réponse est non. Le fait de s’énerver à grande vitesse ne sert à rien. Juste à se donner en spectacle devant les autres, ce qui n’est pas forcément agréable pour autrui. Oui… Bon… Certes, si un PC de 800 euros que vous venez d’acheter ne marche pas au bout d’une heure et que vous vous rendez compte que vous avez perdu la garantie et le ticket de caisse… Là, il y a de quoi s’énerver. Mais pour des broutilles, c'et complètement inutil !
Apprenez déjà avoir un peu plus de patience, et surtout, pensez à l’image de vous-même que vous envoyez. Dites-vous bien que le fait de s’énerver n’avance à rien. Vous ne faites que perdre du temps. Un PC qui ne s’allume pas tout de suite, ça arrive. Au lieu de l’éteindre de force et de le rallumer pour qu’il ne remarche pas, ça avance à quoi ? Ca va juste faire que, vous endommagiez encore plus l’ordinateur. Au lieu de vous énerver, prenez une douche, avancez sur autre chose en attendant que le PC s’allume, vous verrez, dans 80 % des cas la machine va s’allumer tranquillement.
En prenant conscience que la colère est complètement inutile pour des broutilles, vous gagnerez en patience. Avec la patience acquise, vous verrez qu’en arrêtant d’être énervé pour rien vous fera un bien fou sur vous. Après, je ne parle pas de choses graves comme le coup du PC à 800 euros qu’on vient d’acheter et qu’on a perdu la garanti, là, c’est mieux de gueuler un bon coup, mais à courte échéance :-).
Tout ce que je veux dire sur cet article, c’est de ne pas s’énerver pour des choses moindres. En gros, gardez votre sang froid, ça peut beaucoup aider à avoir confiance en soi, rester maitre de soi et dans vos négocaiations et ainsi à réussir dans votre vie. Déjà pour notre santé, notre bien être, et aussi, pour l’image qu’on renvoie aux autres. Oui, je me répète, mais je pense que je ne le répèterai pas assez pour les nerveux.
Par contre, si vraiment, vous ne pouvez rien faire contre vos émotions, investissez pour un bon sac de boxe, ça défoulera. Vous avez aussi le choix de vous inscrire dans un club de squach. Le fait de taper dans la balle pour la balancer contre le mur, ça défoule grave aussi.
Cinquième étape : Avoir un bon social
Il y a plusieurs comportements qui sont à éviter.
- les colériques
- le manque d'estime de soi
- les déprimés
- les pessimistes
- les ventards
- le manque d'ouverture d'esprit
- les moi je
J'ai déjà précisé pour les personnes colériques (4ème étape), celles qui ont un manque d'estime de soi, les déprimés (2ème étape) et les pessimistes (1ère étape). On va passer au reste.
Les ventards : « Ouais, je suis trop bon dans mon boulot, tout le monde le sait », ou alors « Je parle trop bien anglais !!! ». Le dire une fois, les gens ont déjà compris. A répétition, ça commence à saouler. Quand on se vente comme ça, vous n'avez pas cette impression d'attendre que les gens vont tous vous regarder avec un grand WOW et vous applaudir ? En général, ceux qui répètent souvent leur qualité, c'est parce qu'ils croient que les autres n'ont pas entendu, ou ne l'ont pas bien compris, alors on répète. Le fait d'avoir ce besoin de toujours se mettre en avant peut montrer une faiblesse justement. Vous êtes juste bon dans votre job ou vous savez juste bien parler anglais, vous ne savez peut-être pas faire autre chose.
Le pire, ce sont les gens qui, non seulement ont ce besoin de se mettre trop en avant, mais en plus, ils rabaissent les autres : « Ouais, je suis trop bon dans mon boulot, tout le monde le sait ! Regarde mon collègue là bas, tu vois ? Lui, il n'arrive même pas à ma cheville, après, il veut être chef d'équipe ! Pfff, n'importe quoi ! » ou le coup du bilingue : « Je parle trop bien anglais !!! Et tous ceux qui ne parlent pas anglais, sont tous des loosers, I am amazing ! » Mettez vous à la place de la personne qui vous entend, elle en pense quoi ? Ne me dites pas que vous croyez qu'elle va dire « Ah ouais c'est vrai, t'as raison, t'es extraordinaire ! Wow, je t'admire ! toi t'es bon et les autres sont tous nuls !! » Vous n'imaginez même pas le reflet que vous envoyez aux interlocuteurs le fait de toujours vouloir être le meilleur que tout le monde.
Le manque d'ouverture d'esprit : Il y a deux types de manque d'ouverture d'esprit.
- Dans la conversation
- Si vous ne vous interessez pas sur ce que les autres font, ça aussi montre que vous êtes peu ouvert.
Pour remédier du premier cas, il y a peut-être une solution. Si vous n'avez pas beaucoup de conversation avec vos amis, voire même, avec votre famille, il faut peut-être rectifier le tir. Commencez déjà par vous forcer à écouter ce que disent les autres, à vous éfforcer de vous interesser aux sujets de conversation. Si vous vous sentez perdu, il ne faut pas hésiter à demander à quelqu'un pour qu'il vous explique ce qui se passe. N'hésitez pas ! La personne ne va pas s'amuser à se moquer de vous, justement, elle aura le plaisir de prendre cette occasion pour vous montrer qu'elle a compris. Si vraiment vous n'arrivez pas à suivre une conversation, soit vous avez un problème de concentration (là, c'est à vous seul de vous rendre compte et de rectifier), soit vous ne savez pas ce qui se passe autour de vous (commencez à regarder de temps en temps le JT ou à lire le journal par exemple. Des magazines aussi peuvent vous aider), ou soit vous ne parlez pas la même langue que les autres (là, en revanche, c'est vous qui voyez).
Pour ceux qui ne s'interesse pas sur les autres, là, c'est un peu plus compliqué à expliquer. Par exemple, vous êtes informaticien et votre interlocuteur est chef d'équipe de chantier. Vous aimeriez peut-être parler de vos programmes informatique, le xHTML, le C++, le C#, ou je ne sais pas quoi d'autre. Si par contre le mec en face commence à parler de ses déplacements, de ses massifs qu'il coule, de son coffrage, feraillage et coulage, vous ne comprenez rien et vous ne cherchez pas à comprendre, c'est que vous avez un manque d'ouverture d'esprit, c'est à dire, vous ne vous interessez pas à ce que les autres aiment ou font. Je ne peux pas vraiment rectifier votre comportement à votre place. Il faut seulement que vous preniez conscience de votre défaut et essayer d'y remédier.
Avoir une bonne conversation et savoir s'interesser sur des choses en dehors de ce que nous savons déjà vous aideront déjà mieux à vous épanouir et surtout à mieux vous "cultiver" (je n'aime pas ce mot) et ainsi, peut-être, gagner une confiance en soi.
Les moi-je : Vous avez beaucoup de conversations, vous vous entendez avec beaucoup de monde, seul hic, vous ne parlez que de vous et ce que vous faites. Quand votre interlocuteur essaye de parler de sa vie, vous remettez toujours votre petite personne au dessus. Par exemple, Joseph vous parle de sa passion sur le tennis, et sans l'avoir vraiment écouté, vous parlez par dessus de votre passion sur les chevaux.
Comment rectifier ? Mettez-vous dans la tête que votre vie est géniale, interessante, mais que la vie des autres peut tout aussi être interessante et géniale. Vous pouvez parler de vous, mais quand votre interlocuteur parle de sa vie, n'hésitez pas à lui poser des questions pour en savoir plus. Déjà d'une le gars en face de vous se sentira en confiance envers vous, car il voit que vous vous interessez à lui, donc en conséquence, il reviendra souvent parler avec vous. Votre vie c'est bien, mais quand il n'y a que vous dans votre conversation, ça saoule. Imaginez que quelqu'un avec qui vous êtes en train de converser ne parle que de sa vie et ne vous laisse pas parler, ç,a vous ferait quoi ?
Et pour finir, essayez de mettre dans la peau des autres pour avoir une bonne conversation, pour montrer que vous êtes quelqu'un de bien. Le fait de compathir et d'écouter les autres ne peut être que bénéfique sur vous et sur les autres. Voilà, après, ce ne sont que des conseils pour gagner en Intelligence sociale. J'ai beau faire des leçons de morals dans ma chronique, mais je n'oublie pas que moi aussi j'ai plein de défauts. Pour finir, une petite citation :
"L'intelligence émotionnelle est la capacité à reconnaître et comprendre ses émotions ainsi que celles des autres. Votre capacité à utiliser cette prise de conscience gère votre comportement et vos relations."
Maintenant, vous êtes prêt à réussir dans votre vie
- Vous savez surmonter à vos échecs,
- Vous acceptez les critiques constructives et les utilisez pour vous améliorer,
- Vous avez une bonne estime de soi,
- Vous avez confiance en vous,
- Vous êtes conscient de qui vous êtes,
- Vous savez controler vos émotions,
- Vous avez un bon social
Vous êtes maintenant prêt à réussir votre vie. Maintenant, poursuivons notre chemin. Avant de vous jeter à l'eau, posez-vous ces questions :
- Est-ce que j'aime ce que je suis en train de faire ?
- Où me vois-je dans un futur proche ?
- Je me vois comment j'ai commencer. Mais comment vais-je finir ?
- Est-ce que vous faites ce que vous croyez, ou contentez-vous de ce que vous faites ?
- Vous souciez vous plus de bien faire les choses, ou de faire les bonnes choses ?
- Qu'est ce quelque chose que vous savez que vous feriez différemment que la plupart des gens ?
- Pourquoi êtes-vous vous ?
- Si vous n'avez pas encore atteint votre objectif, qu'avez vous à perdre ?
Maintenant, quelques trucs à éviter :
- Arrêter de toujours mettre les choses à plus tard
- Arrêter de trop perdre du temps. Si vous voulez réussir votre projet, ne mettez pas des heures à jouer sur des jeux facebook par exemple.
- Après un échec, ne surtout pas démoraliser.
Si vous avez bien su répondre aux questions et si vous évitez de perdre du temps, vous êtes vraiment prêt à foncer dans vos rêves