Dès les premières pages lues, je trouvais ce roman un peu gniangnian. Évidemment, Nadhia va sortir avec son Marc et sera la femme la plus heureuse du monde. Mais non, je me suis trompée. C'est l'histoire d'une jeune voyante ayant découvert son don à la mort de son meilleur ami d'enfance. En effet, elle avait vu sa mort et c'est exactement ce qui s'est produit. De même pour sa nounou et... Sa meilleure amie du lycée, rivale qui souhaite aussi avoir une relation avec Marc. Seulement, étant égoïste, elle laisse la mort la prendre et passe finalement une bonne soirée avec son Marc. Mais quand celui-ci découvre la mort de sa meilleure amie et que Nadhia l'avait prédite, il décide de la quitter et se concentrer sur ses études. Elle regarde alors son jeu de carte pour définir sa vie avec lui. Elle voit alors une dame de trèfles (rivale éphémère), la dame de pique (rivale à long terme), et la dame de coeur (son amour pour toujours) Pendant ce temps là, la voyance devient une passion pour Nadhia et décide d'en faire son métier. Après des études de perfection, elle ouvre alors son magasin et rencontre dix ans plus tard une dame qui demande si elle sera veuve. De retour dans son manoir d'enfance avec sa grand-mère, elle découvre alors que cette femme est la femme de son Marc depuis sept ans. Elle tente le tout pour le tout pour récupérer son Marc, mais les choses ne tournent pas comme elle l'a souhaité. Son Marc a une double vie professionnelle et extra professionnelle et sa femme a été mise au courant de sa deuxième activité par un autre homme. Elle sera alors tuée après que Marc soit licencié de son activité secrète. C'est alors qu'il vient à la rencontre de Nadhia pour lui faire ses adieux et lui faire comprendre que son don de voyance est quelque chose de pernicieuse. C'est alors que cette dernière, les yeux embués de larmes consulte une dernière fois ses cartes. La dame de coeur a disparu avec la dame de trèfle. La dame de pique est alors elle-même. Comprenant le message, elle se suicide.

Ce livre m'a subjugué presque dès les premières pages. Que c'est bien étrange ce meurtre avec l'oeil volé et cette inscription sur la poitrine "ILLUMINATI". Quoi ? Je ne connaissais pas ce mot et alors ? Le devrais-je absolument ? En tout cas, à chaque fois que je parcours quelques pages de ce bouquin, j'ai toujours l'impression de dormir moins con après. Je sais maintenant bien plus de choses grâce à ce livre. Les Illuminatis, Galilé, Copernic, Roma, des choses sur la religions catholique (notamment d'où proviennent l'imagination (les auréoles des anges, le physique de Dieu, etc.)) Au début de ce roman, je restais sur la conviction que c'était le Camerlingue qui était derrière cela (les meurtres ; celui du père de Vittoria et celui des quatre cardinaux). Mais au fil de la lecture, on se tourne plutôt sur l'ami du père de Vittoria handicapé. Mais au final, c'était bien le camerlingue qui était derrière tout ça. Souffrant d'une trahison chrétienne, il a voulu venger son père : le Pape en personne qui a eu un enfant contre les lois du Vatican. Mais ce n'était que grâce à la science uniquement qu'il a réussi a engendrer un enfant, c'était pour cela que le Pape avait marié religion et science. Que de bon dans les livres de Dan Brown, une vraie perle avec laquelle, les 500 pages ont été dévorées en une semaine.

Après l'avoir lu, j'ai regardé le film qui avait interprété le livre. Nul. La découverte du cadavre de Monsieur Vetra ne s'était pas déroulée comme ça. De plus, la fabrication de l'antimatière s'était déroulée dans le plus grand secret entre la fille et le père. Et pleins de détails comme ça. Mais le pire c'est le nom du camerlingue qui a changé. Dans le bouquin, il s'appelle Carlo et dans le film Patrick ! Horreur !

Excusez-moi, je suis un peu essoufflé ! Je viens de traverser où tout le monde courait… Je ne peux pas vous dire laquelle… je l’ai traversé en courant. Lorsque j’y suis entré, je marchais normalement, mais quand j’ai vu que tout le monde courait… je me suis mis à courir comme tout le monde sans raison !
A un moment, je courais au coude à coude avec un monsieur… Je lui dis : « Dites-moi… pourquoi tous ces gens-là courent-ils comme des fous ? » Il me dit : « Parce qu’ils le sont ! » Il me dit : « Vous êtes dans une ville de fous ici… vous n’êtes pas au courant. », Je lui dos « Si, si, des bruits ont couru ! » Il me dit : « Ils courent toujours ! », Je lui dis : « Qu’est-ce qui fit courir tous ces fous ? » Il me dit : « Tout ! tout ! Il y en a qui courent au plus pressé. D’autres qui courent après les honneurs… Celui-ci court pour la gloire… Celui-là court à sa perte ! » Je lui dos : « Mais pourquoi courent-ils si vite ? » Il me dit : Pour gagner du temps ! Comme le temps, c’est de l’argent, plus ils courent vite, plus ils en gagnent ! » Je lui dis : « Mais où courent-ils ? » Il me dit : « A la banque ! Le temps de déposer l’argent qu’ils ont gagné sur un compte courant… et ils repartent toujours courant, en gagner d’autre ! »
Je lui dis : ‘Et le reste du temps ?’ Il me dit : « Ils courent faire leur courses… au marché ! », Je lui dis : « Pourquoi font-ils leurs courses en courant. » il me dit : « Je vous l’ai dit… parce qu’ils sont fous ! » Je lui dis : « Ils pourraient tout aussi bien faire leur marché en marchant… tout en restant fous ! » Je lui dis : « On voit bien que vous ne les connaissez pas !D’abord le fou n’aime pas la marche… » Je lui dis : « Pourquoi ? » Il me dit : « Parce qu’il la rate ! » Je lui dos : « Pourtant j’en vois un qui marche !? » Il me dit : « Oui, c’est un contestataire ! Il en avait assez de courir comme un fou. Alors, il a organisé une marche de protestation ! » Je lui dis : Il n’a pas l’air d’être suivi ? » Il me dit : « Si, mais comme tous ceux qui le suivent courent, il est dépassé ! » Je lui dis : « Et vous ? peut-on savoir ce que vous faîtes dans cette ville ? » Il me dit : « Oui, moi j’expédie les affaires courantes. Parce que même ici, les affaires ne marchent pas ! » Je lui dis : « Et où courez-vous là ? » Il me dit : « Je cours à la banque ! » Je lui dis : « Ah !... Pour y déposer votre argent ? » Il me dit : « Non ! Pour le retirer ! Moi je ne suis pas fou ! » Je lui dis : « Mais si vous n’êtes pas fou, pourquoi restez-vous dans une ville où tout le monde l’est ? » il me dit : « Parce que j’y gagne un argent fou !... C’est moi le banquier !... »

Je voulais le lire ! Un classique aussi connu que Charles Dickens, alors allons y ! Mais en VF ! ^^ Surtout, c'était pour comparer le film Disney. En effet, je retrouve les dialogues du dessin animé, mais il y a beaucoup de changements. L'histoire jusqu'à la porte passée par la serrure est exacte. Mais après, tout change. Avant qu'Alice rencontre Dodo dans le film Disney, dans le livre, elle rencontre une souris qui lui conte une histoire. Et aussi... où est passée l'histoire de la curiosité des huîtres mangées par monsieur le Morse dans le bouquin ? Il ne me semble pas avoir rencontré dans le livre les tweens. En revanche, drôle d'histoire avec la duchesse qui abandonne le bébé qui se transforme en cochon ! La duchesse ne figurait pas dans le film. La conversation avec le Chapelier et le Lièvre de Mars a quelque peu changée. Surtout, où est passée la forêt où il y a les "mambras" ? On vient directement chez la Reine et son croquet. À la fin, le procès n'est pas dù à la bêtise d'Alice mais à un vol des tartes. L'histoire du vieux père Guillaume est contée par le Ver de soie et non par les frères Tweens, et l'histoire du crocodile qui avale les trois poissons n'est pas contée par le ver, mais par quelqu'un d'autre. Pendant la pause thé avec les deux fous, le petit rat raconte une histoire saugrenue qui ne figure pas du tout dans le dessin animé... Bref !

Pendant que nous sommes en Croatie, donc pas loin de la Slovénie, nous avons profité d'aller visiter le pays.

Allons-y pour l'une des plus grandes grottes karstique du monde. Sa taille, son accessibilité et la richesse de ses entrailles font de la grotte la plus grande attraction touristique du pays. A 13heures, nous voilà devant la porte d'entrée. Nous prenons un petit train pour aller au coeur de la grotte et nous choisissons la guide qui parle anglais pour la visite.

1 mm = 10 ans ! Impressionnant !

Et nous avons même une salle de concert, là où des groupes s'installent pour chanter et ainsi entendre leurs échos.

Et comme nous sommes pas trop loin de la capitale, nous avons pris l'autoroute pour la visiter. Deux petites heures de route !

Et voilà notre journée en Slovénie !

A 10 heures, nous sommes encore à Mestre, près de Venise en Italie. Nous avons bien dormi dans l'hôtel, mais il a fait chaud ! A cette heure, nous rendons les clés de l'hôtel et nous reprenons la voiture pour aller en Croatie en passant par la Slovénie. Pour passer la frontière slovène, nous sommes obligés d'acheter une étiquette pour la coller sur le part-brise. Après midi, nous trouvons notre camp de vacances et avant de nous installer dans notre appartement, nous déjeunons. Je n'ai pas du tout accroché à la bouffe croate. Après le repas, nous nous sommes installés dans notre appart', et nous voilà déjà à la plage !

Sur la photo, nous voyons pas vraiment, mais le lézard est vert fluo ! Je n'ai jamais vu ça en France !

Pendant la bronzette, j'ai profité pour prendre en photo les vagues.

Puis, le lendemain, nous sommes descendus dans le pays, au sud de la région d'Istrie pour aller à Pula (la capitale de la région d'Istrie). Nous avons visité la deuxième arène la plus grande du monde : l'arène de Pula. L'architecte est inconnu et l'arène a failli été détruite plus d'une fois.

L'église que vous voyez derrière a été construite à partir de pierres de l'arène.

Le lendemain, nous sommes retournés à Pula pour une petite excursion en bateau. Avant que la Yougoslavie ne se sépare, il y avait un dictateur nommé Tito qui régnait sur le territoire yougoslave. Et les îles que nous voyons ci-dessous appartenaient à Tito. C'étaient surtout une base militaire. En voici les ruines.

Et pendant la petite promenade en bateau, on a pu entendre une chanson française ! Une ! Celle d'Alyzée : Moi je m'appelle Lolita. Hourra !

Pendant notre repas, on s'amuse à lancer des bouts de pains au mouettes.

À force de lire des livres de Guillaume qui est le deuxième écrivain français le plus lu au monde, le livre du premier français lu au monde m'a semblé banal. Quelques anecdotes néanmoins m'ont séduites. Comme les 86 400 euros (secondes) par jours gagnés et que nous devons en profiter le jour même car le lendemain, tout aura disparu, mais de nouveau ces 86 400 reviendront. Ce jeu peut s'arrêter à tout moment, parallèlement, la mort peut surgir à tout moment. Mis à part Lauren, fille au coma qui est un peu pénible avec ses milles et une questions au jeune homme, ce roman m'a semblé assez bien, surtout que je l'ai li sur les plages croates ! La fin est très inattendue. Même si j'ai imaginé x fins, me voilà étonnée de la connaître. En effet, Lauren a survécue de son coma, mais en revanche ne reconnaît pas le héros qui lui a sauvé sa vie quand elle était fantôme. Allez, je vais bien en relire d'autres de Marc Levy, c'est toujours un plaisir de lire.

Nous sommes partis ce matin vers 5 heures pour arriver à Mestre à 11 heures du matin. Il y a beaucoup de bouchons sur l'autoroute vers Milan. Nous allons dormir ce soir à l'hôtel Cortina. Midi, petit Mc-Do à Mestre et direction Venise ! Nous nous garons au parking à l'entrée de Venise et nous voilà à pied pour toute une après-midi. En effet, les véhicules sont interdits dans la ville même.

Un magasin de masques

Et oui, petit souvenir du voyage : j'ai investis pour un masque Vénicien !

Puis nous avons marché pendant des heures et des heures au milieu des petites ruelles de Venise pour trouver la place Saint Marc. Nous ne savons pas que la place était loin ! Sur le coup, on avait cru que cette place était une légende ! Mais non, la voilà ! Très grande avec des centaines de pigeons ! Je n'ai jamais vu autant de pigeons de ma vie sur une place !

Le Campanile de Saint Marc

Le café Florian. Dix euros le café !

La Basilic Saint Marc

Une gondole

Moi dans le vaporetto, un bateau-autobus, pour retourner aux portes de la ville.

Le pont de Rialto

La Basilique Santa Maria Della

Puis le lendemain, nous reprenons la voiture pour aller en Croatie !

Et voilà l'une de mes premières oeuvres sous photoshop. Une réussite. Un bémol... J'ai oublié ses moustaches et son oreille !

Je n'ai pas su accrocher sur les premières pages du livre. Mais quand je suis arrivée à la fin de la première partie, j'ai lu que le héros meurt et qu'il recommence sa journée. Ça m'a accroché, et je l'ai dévoré. Musso a peut-être le don sur l'écriture des histoires, mais c'est toujours la même chose ! C'est vrai qu'au début c'était décourageant. Mais la fin, ça m'a un peu déçue : le héros est mort malgré les chances qu'on lui a données. Et de plus, on sait que c'est lui même qui s'est tué, mais pourquoi ? Et il sort d'où cet autre lui ?